Une nouvelle extension très différente, le « point » tel (.tel)

Les nouvelles extensions de noms de domaine (gTLD) s’enchaînent se suivent et se ressemblent depuis quelques années. On n’en voit d’ailleurs pas toujours la nécessité (cf les « .info », « .aero », …), si ce n’est le but mercantil poursuivi par les organismes d’enregistrement de ces noms de domaine. Certaines extensions ont toutefois une raison d’être toute particulière, comme le « .mobi », destiné exclusivement aux contenus accessibles depuis les navigateurs de poche, ou la toute nouvelle extension « .tel », qui n’est pas destinée au WEB!

Révolutionnaire

L’extension « .tel » est révolutionnaire dans le sens où elle se propose de permettre la gestion des coordonnées (téléphoniques, mais également postal, email…) de l’entreprise vis à vis du public. Il n’y a donc pas à développer une application spécifique en fonction du mode d’accès : web, wap, xml… Le REGISTRE .tel se charge de proposer la gestion de ces éléments. Cela signifie que les serveurs DNS, habituellement chargés d’indiquer « où » se trouve le serveur à contacter, vont fournir directement les informations, sans qu’il y ait besoin d’administrer un serveur pour cela. Une adresse en « point tel » peut de fait être définie comme « une fiche d’informations interactive« .

Les informations contenues dans ce REGISTRE qui n’aura jamais aussi bien porté son nom, vont de l’adresse postale à l’adresse de messagerie instantanée en passant par les numéros de téléphone, des descriptions et l’adresse du site web du titulaire. Le référencement naturel n’est pas oublié, puisque le REGISTRE construira des pages WEB dynamiques basées sur ces informations publiques. A ce sujet, toutes les données n’ont pas l’obligation d’être publiques, il est possible de définir celles réservées aux « amis » à l’instar des outils de réseaux sociaux. Enfin, l’ensemble des « fiches d’informations » est structuré selon le souhait du titulaire du nom de domaine : par zone géographique, par fonction, par produit, …

Un lancement par étapes

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La CAMIF ou comment un pionnier du e-commerce peut disparaître ?

Ce titre n’a pas été choisi au hasard : bien peu des personnes qui se sont exprimées sur la liquidation judiciaire de la camif ont conscience que celle-ci n’a pas été la dernière à vendre en ligne. Il serait donc trop facile et inexact de mettre sa disparition sur son incapacité à aller sur le web.

En effet, comme d’autres VPCistes, La Camif était « en ligne » à l’ère du Minitel, en permettant de passer des commandes ou suivre ses achats. Et, il y a plus de 10 ans, il était possible de commander sur www.camif.fr ; Ce n’est pas là qu’il faut chercher l’origine du déclin de la coopérative d’achat des enseignants.

Une piste de réponse nous est donnée par le président actuel de La Camif, dans une interview donnée au journal Libération : une volatilité de sa clientèle sans cesse croissante, une marque en perte d’identité, sans qu’il soit possible d’affirmer quel phénomène en est à l’origine ou la conséquence. Une lecture des près de 250 commentaires déposés sur l’article de Libération en témoigne.

Une chose est certaine, si l’on souhaite convaincre des nouveaux clients sur Internet, mieux vaut être le moins cher: les comparateurs de prix y font la pluie et le beau temps. Pourtant, cette quête du prix à un coût: le comparateur de prix, tout d’abord, qui facture ses services au marchand, et bien sûr la marge du e-commerçant, qui se réduit au fil du temps comme peau de chagrin.

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Challenge mondial Zanox, un projet NeoDiffusion parmi les 10 nominés !

L’activité de NeoDiffusion ne s’arrête pas au conseil… Notre activité concerne également le lancement de nouveaux sites ou services web, et l’exploitation de sites Internet. Ainsi, NeoDiffusion aide régulièrement des projets à se réaliser en recherchant des solutions pratiques de mise en œuvre. Dans ce contexte, NeoDiffusion a répondu à l’appel à candidatures d’un grand fond d’investissement privé, partenaire de zanox, l’une des 5 premières plateformes d’affiliation au monde. Cet appel était ouvert à tout porteur de projet ou à toute société, quel que soit son pays d’origine sur la planète web. Le dossier et la maquette de démonstration soumise par NeoDiffusion, a été sélectionné parmi l’un des 10 meilleurs projets mondiaux… et défendu le 24 octobre 2008 à Berlin par Werner KLINGER.

Cette nomination illustre sans doute la capacité d’innovation et de réactivité dont NeoDiffusion fait preuve au quotidien. Ces cas pratiques réussis dans le domaine du WEB garantissent par ailleurs que les prestations de conseil restent concrètes et proches du terrain.

La mort du chéquier conseils pour créateur et repreneur d’entreprise

Le dispositif « chéquier conseils » permettait aux créateurs et repreneurs d’entreprises pouvant prétendre à l’Accre de consulter des conseillers spécialisés lors de l’élaboration de leur projet et lors du démarrage de leur activité. Les conseillers doivent être habilités par la préfecture.

Un chéquier-conseil comportait 6 chèques d’une valeur nominale de 45,74 euros chacun. Le coût de l’heure de conseil étant fixé à 60,98 euros TTC, le bénéficiaire du chéquier-conseil doit verser au prestataire 15,24 euros par heure de conseil facturée.

NeoDiffusion, habilité par la préfecture de l’Ain en 2008 pour le conseil en projets Internet, a pu vérifier la pertinence de ce dispositif :tous les témoignages des créateurs reçu au cours de l’année 2008 sont unanimes, ce dispositif leur a permis d’aborder leur projet avec une plus grande sérénité, et d’éviter des écueils qu’ils n’avaient pas envisagé, faute d’expertise.

Une mort annoncée

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Référencement : le retour de Paméla Anderson

Dans les années 90, il n’était pas rare de retrouver le nom de Pamela Anderson parmi les mots-clefs de la balise META keyword de certaines pages… sans aucun rapport avec l’actrice. Cette stratégie de référencement partait d’un constat simple: beaucoup d’internautes saisissaient « pamela » dans les moteurs de recherche, donc si le site voulait du volume, il fallait faire croire aux internautes qu’ils trouveraient ce qu’ils cherchaient. (suite…)