3. Les bénéfices et limites de l’affiliation

L’un des atouts indéniable de l’affiliation est d’offrir un accès rapide à un potentiel de plusieurs milliers d’apporteurs d’affaires, pour un coût raisonnable : celui de la mise en place de la campagne d’affiliation.

Pour autant, toutes les campagnes d’affiliation n’auront pas toutes la même performance en terme de ventes générées. Citons parmi d’autres quelques facteurs de succès : choisir la bonne technologie pour gérer son programme d’affiliation, et si l’on passe par une plateforme d’affiliation, choisir la bonne plateforme… Chacune a ses caractéristiques, son réseau d’affiliés, sa typologie de clientèle. (suite…)

2. Les outils Internet au service de l’affiliation

Nous avons vu que l’affiliation est avant tout un contrat d’apport d’affaire, comme il en existe dans l’univers du commerce traditionnel.

L’affiliation n’a donc rien inventé, il s’agit tout simplement de la transposition du contrat d’apport d’affaires traditionnel à l’environnement Internet. D’ailleurs, les professionnels du secteur ne s’y trompent pas : la première étape d’une relation d’affiliation reste la signature d’un contrat, que ce soit sur papier ou à travers un clic de validation. Internet apporte la possibilité de « mécaniser » la gestion de cette relation, tant d’un point de vue administratif que marketing. (suite…)

Une nouvelle extension très différente, le « point » tel (.tel)

Les nouvelles extensions de noms de domaine (gTLD) s’enchaînent se suivent et se ressemblent depuis quelques années. On n’en voit d’ailleurs pas toujours la nécessité (cf les « .info », « .aero », …), si ce n’est le but mercantil poursuivi par les organismes d’enregistrement de ces noms de domaine. Certaines extensions ont toutefois une raison d’être toute particulière, comme le « .mobi », destiné exclusivement aux contenus accessibles depuis les navigateurs de poche, ou la toute nouvelle extension « .tel », qui n’est pas destinée au WEB!

Révolutionnaire

L’extension « .tel » est révolutionnaire dans le sens où elle se propose de permettre la gestion des coordonnées (téléphoniques, mais également postal, email…) de l’entreprise vis à vis du public. Il n’y a donc pas à développer une application spécifique en fonction du mode d’accès : web, wap, xml… Le REGISTRE .tel se charge de proposer la gestion de ces éléments. Cela signifie que les serveurs DNS, habituellement chargés d’indiquer « où » se trouve le serveur à contacter, vont fournir directement les informations, sans qu’il y ait besoin d’administrer un serveur pour cela. Une adresse en « point tel » peut de fait être définie comme « une fiche d’informations interactive« .

Les informations contenues dans ce REGISTRE qui n’aura jamais aussi bien porté son nom, vont de l’adresse postale à l’adresse de messagerie instantanée en passant par les numéros de téléphone, des descriptions et l’adresse du site web du titulaire. Le référencement naturel n’est pas oublié, puisque le REGISTRE construira des pages WEB dynamiques basées sur ces informations publiques. A ce sujet, toutes les données n’ont pas l’obligation d’être publiques, il est possible de définir celles réservées aux « amis » à l’instar des outils de réseaux sociaux. Enfin, l’ensemble des « fiches d’informations » est structuré selon le souhait du titulaire du nom de domaine : par zone géographique, par fonction, par produit, …

Un lancement par étapes

(suite…)

La CAMIF ou comment un pionnier du e-commerce peut disparaître ?

Ce titre n’a pas été choisi au hasard : bien peu des personnes qui se sont exprimées sur la liquidation judiciaire de la camif ont conscience que celle-ci n’a pas été la dernière à vendre en ligne. Il serait donc trop facile et inexact de mettre sa disparition sur son incapacité à aller sur le web.

En effet, comme d’autres VPCistes, La Camif était « en ligne » à l’ère du Minitel, en permettant de passer des commandes ou suivre ses achats. Et, il y a plus de 10 ans, il était possible de commander sur www.camif.fr ; Ce n’est pas là qu’il faut chercher l’origine du déclin de la coopérative d’achat des enseignants.

Une piste de réponse nous est donnée par le président actuel de La Camif, dans une interview donnée au journal Libération : une volatilité de sa clientèle sans cesse croissante, une marque en perte d’identité, sans qu’il soit possible d’affirmer quel phénomène en est à l’origine ou la conséquence. Une lecture des près de 250 commentaires déposés sur l’article de Libération en témoigne.

Une chose est certaine, si l’on souhaite convaincre des nouveaux clients sur Internet, mieux vaut être le moins cher: les comparateurs de prix y font la pluie et le beau temps. Pourtant, cette quête du prix à un coût: le comparateur de prix, tout d’abord, qui facture ses services au marchand, et bien sûr la marge du e-commerçant, qui se réduit au fil du temps comme peau de chagrin.

(suite…)

Challenge mondial Zanox, un projet NeoDiffusion parmi les 10 nominés !

L’activité de NeoDiffusion ne s’arrête pas au conseil… Notre activité concerne également le lancement de nouveaux sites ou services web, et l’exploitation de sites Internet. Ainsi, NeoDiffusion aide régulièrement des projets à se réaliser en recherchant des solutions pratiques de mise en œuvre. Dans ce contexte, NeoDiffusion a répondu à l’appel à candidatures d’un grand fond d’investissement privé, partenaire de zanox, l’une des 5 premières plateformes d’affiliation au monde. Cet appel était ouvert à tout porteur de projet ou à toute société, quel que soit son pays d’origine sur la planète web. Le dossier et la maquette de démonstration soumise par NeoDiffusion, a été sélectionné parmi l’un des 10 meilleurs projets mondiaux… et défendu le 24 octobre 2008 à Berlin par Werner KLINGER.

Cette nomination illustre sans doute la capacité d’innovation et de réactivité dont NeoDiffusion fait preuve au quotidien. Ces cas pratiques réussis dans le domaine du WEB garantissent par ailleurs que les prestations de conseil restent concrètes et proches du terrain.