par Werner KLINGER | 10 Mar 2009
Le syndicat « collectif des plates-formes d’affiliation » a été créé en 2008 à l’initiative de Commission-Junction, Tradedoubler et Zanox, immédiatement rejoints par Affili.net, Effiliation et Netaffiliation.
L’affiliation, outil marketing expliqué dans notre dossier gratuit sur l’affiliation, est la transposition sur Internet du « Contrat d’Apporteur d’Affaires », qui a pour principe de rémunérer un tiers pour les transactions qu’il a aidé à réaliser: devis pour un assureur, vente pour une boutique de souvenirs, chantiers pour un artisan, etc… vous en saurez plus en lisant notre introduction à l’affiliation.
Ce syndicat est composé à ce jour de 6 membres, qui représentent plus de 90% du marché des plates-formes d’affiliation en France en 2007. Il a pour objectif:
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La promotion et l’analyse de l’activité de plate-forme d’affiliation
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La défense des intérêts et des droits tant collectifs qu’individuels de ses membres
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La préservation de règles déontologiques entre ses membres
Cette initiative est une bonne nouvelle tant pour les annonceurs que pour les éditeurs de sites (appelés « affiliés »): le rôle de tiers de confiance est un pilier du modèle de l’affiliation, la mobilisation de ses acteurs pour définir une charte déontologique et communiquer ensemble ne peut que rassurer.
NeoDiffusion suivra les avec intérêt et attention les actions menées par le CPA.
par Werner KLINGER | 2 Mar 2009
L’AFNIC simplifie les règles et procédures d’enregistrement pour .fr et .re à compter du 30 mars 2009, en adoptant le protocole EPP déjà utilisé pour la gestion de la grande majorité des autres extensions (y compris .com), et en allégeant sa charte de nommage.
L’AFNIC, rappelons-le, c’est le gestionnaire des extensions des noms de domaine en « .fr » (France) et « .re » (Réunion), également appelé registre (registry en anglais). Les entreprises (et les particuliers depuis 2006) qui enregistrent un nom de domaine le font auprès d’un « bureau d’enregistrement » (registrar en anglais), habilités par l’AFNIC.
L’adoption du protocol EPP, standard chez les bureaux d’enregistrement n’a pas d’impact direct pour les titulaires de noms de domaine, mais sera toutefois accompagnés d’autres changements plus perceptibles: le délai de rédemption passe de 7 à 30 jours, le transfert se fera par l’intermédiaire d’un code d’authentification (auth_info) et l’identification du titulaire va être normalisée.
Toutes ces évolutions vont dans le sens d’une rationalisation des outils des bureaux d’enregistrement, grâce à l’adoption du protocole EPP, et d’une uniformisation des « prestations pour le propriétaire d’un nom de domaine: le .fr rejoint ainsi les autres extensions majeurs. Enfin, la lourdeur de la vérification des valeurs de DNS devrait être abandonnée avec le passage à l’enregistrement du nom de domaine décorrélé de l’activation effective des DNS associés.
L’AFNIC va, par la même occasion, alléger sa charte de nommage: les sous-domaines de type .nom.fr, .prd.fr, .presse.fr ne vont plus être proposés à l’enregistrement, et d’autres sous-domaines subiront le même sort au fil de l’année 2009. Par contre, pas d’inquiétude, les noms de domaine déjà enregistrés seront bien évidemment conservés. Au final, l’AFNIC va limiter sa convention de nommage au formes agglo-nom.fr, cc-nom.fr, ville-nom.fr, mairie-nom.fr, cg-nom.fr, cr-nom.fr, qui resterons les seules à être sujet à vérification avant enregistrement.
On assiste ici à une rationalisation extrème de l’administration des noms de domaine, rationnalisation prévisible dans un environnement de pression constante sur le « coût » d’un nom de domaine localisé .fr par rapport aux autres extension génériques .com ou .eu .
Werner Klinger, NeoDiffusion
Conseil indépendant en NTIC
(suite…)
par Werner KLINGER | 19 Fév 2009
Depuis plus de 18 mois, NeoDiffusion accompagne les dirigeants d’entreprises, les créateurs et les repreneurs, entre autres… afin de mettre en œuvre et réussir leurs projets WEB ou NTIC. Cette compétence est reconnue au niveau local, NeoDiffusion étant habilité par la Chambre de Commerce et d’Industrie pour accepter les Chèques Conseils. Ce dispositif a été interrompu fin 2008, certes, mais NeoDiffusion reste néanmoins accessible à tous les créateurs et repreneurs d’entreprises (localement et au delà…) en proposant toujours et encore un mode de paiement très intéressant.
En effet, NeoDiffusion s’est rapproché de SuiviConseil, une enseigne nationale, proposant un accompagnement, un suivi, en binôme-entreprise (www.suiviconseil.com). Suiviconseil propose aux porteurs de projets (créateurs/repreneurs/chefs d’entreprise) un interlocuteur unique, pouvant l’accompagner tout au long de son projet. Suiviconseil a, par ailleurs, obtenu de la Direction Régionale du Travail le label Opérateur d’Accompagnement permettant au public bénéficiant de l’exonération ACCRE, et l’avance remboursable EDEN, d’être accompagné dans son projet de création/reprise d’entreprise. Dans ce contexte, NeoDiffusion est de nouveau référencé comme Centre d’Expertise Internet et NTIC. A ce titre, la démarche de Suiviconseil remplace avantageusement les Chèques Conseils.
Mais attention : NeoDiffusion ne s’adresse pas qu’aux créateurs et repreneurs d’entreprises… Que votre entreprise soit toute jeune ou bien établie, NeoDiffusion reste à votre écoute et à votre disposition… Vous bénéficierez en effet du même niveau d’expertise en Nouvelles Technologies quel que soit votre secteur d’activité ou votre étape de développement. Dans tous les cas, on s’adapte à vos besoins sans faire de concessions sur les moyens !…
par Werner KLINGER | 18 Fév 2009
Le statut d’Auto-entrepreneur est officiellement opérationnel depuis le 1er janvier 2009, et après quelques semaines, il a fait couler beaucoup d’encre. Étant impliqué dans le monde de la création d’entreprise (notamment agréé par le (ex) dispositif Chéquier conseil et par des réseau d’accompagnement), j’ai naturellement suivi ces débats avec beaucoup d’intérêt.
Je ne vais pas vous retracer ici l’ensemble des caractéristiques du dispositif, d’autres sites expliquent très bien comment devenir auto-entrepreneur, ou encore comment faire ses déclarations d’auto-entrepreneur. Sans oublier qu’il existe le site officiel de l’auto-entrepreneur (méfiez-vous des « contrefaçons « …) édité par l’URSSAF. Je vais me contenter d’un bref résumé: Le statut d’auto-entrepreneur permet de déclarer une activité professionnelle de type commerciale (achat-vente ou location de biens), prestation de services ou profession libérale relevant du RSI en quelques clics (ou un formulaire), sans inscription au registre du commerce. Pour être éligible à ce statut, le Chiffre d’Affaire annuel ne doit pas dépasser 32000€ pour du service ou 80000€ pour de l’achat-vente-location. Le montant des cotisations sociales est proportionnel au Chiffre d’Affaires réalisé dans le trimestre, il n’y a pas de cotisations sociales forfaitaires comme pour le régime général des indépendants.
Ce statut représente une amélioration appréciable du seul statut destiné au petit entrepreneur: celui de TNS (Travailleur Non Salarié), qui subsiste toutefois. Ce statut de TNS, simple sur le papier, révèle toute sa lourdeur et ses limites lorsqu’il s’agit de déclarer une activité générant peu de revenus (engloutis par les cotisations sociales forfaitaires), et une lourdeur administrative, avec des régularisations plus d’un an après les évènements et calées sur l’année civile. A ce titre, le statut d’Auto-Entrepreneur est une aubaine pour exercer dans la légalité une activité professionnelle complémentaire: salarié, fonctionnaire, retraité ayant une idée ou une envie d’entreprendre.
Car c’est certainement de là que viennent une majorité des 50000 premiers inscrits dans le dispositif: de nombreux revendeurs sur ebay (ou sur les vides greniers de village), qui « exerçaient » une activité de cyber-commerçant en toute illégalité. Ainsi, le statut d’auto-entrepreneur ne constitue pas une menace pour les autres commerçants. Bien au contraire, ces « particuliers commerçants » non déclarés représentent depuis des années une concurrence déloyale, ne payant aucun impôt, aucune charge sociale. Le statut d’AutoEntrepreneur leur permet de rentrer simplement dans la légalité (et plus d’excuse pour les autres…). Il en va de même pour les « webmasters du dimanche », les « voisins réparateur », qui ont constitué par la force des choses un « petit business », trop petit pour devenir une véritable entreprise, mais ne relevant clairement plus de l’activité strictement privée.
De même, la crainte de voir les patrons « externaliser » leurs employés, forcés à se mettre en sous-traitance, n’a guère de sens. Pour une activité de service, le dispositif étant plafonné à un chiffre d’affaires de 32000€ annuel. Une fois les charges sociales (21,3%) et les frais de fonctionnement (évalués à 50% par le fisc) déduits, il reste un « revenu » maximum de 9600€/an, soit… 800€ par mois (avant impôt sur le revenu). Bref, rien qui puisse motiver un salarié à « s’externaliser ». Par contre, ce montant correspond tout à fait à un revenu complémentaire, lié à une nouvelle activité du salarié, qui souhaite se mettre à son compte en douceur et sans risque…
Tous ces éléments me font dire que le statut d’Auto-Entrepreneur contient de bonnes choses. Et contrairement à d’autres formes « d’entreprises », il devrait faire moins de dégâts en cas d’échec du projet. Il ne faut pas le voir comme un danger pour les entreprises, mais une passerelle pour permettre à de nouvelles entreprises d’émerger en plusieurs étapes.
Werner Klinger gérant de NeoDiffusion,
Société de Conseil Indépendant en NTIC
par Werner KLINGER | 18 Fév 2009
La presse en ligne, reprise par les médias traditionnels, ont largement évoqué début février 2009 un « bug google« , qui c’est transformée en « faille google » pour les plus racoleurs, qui aurait même « mis en danger les ordinateurs des internautes » pour les journalistes qui n’avaient rien compris. Il semblait donc urgent d’apporter un éclairage d’expert sur ce qui s’est passé le 31 janvier 2009.
Concrètement, durant 30 à 60 minutes, tous les résultats de recherche sur google étaient affublés de l’avertissement « ce site risque d’endommager votre ordinateur« . Il s’agissait d’une fausse alerte, mais la mise en garde a été prise au sérieux, puisque seulement 10% des internautes ayant vu ce message on tout de même cliqué, nous indique XiTi . Une vague de prudence fort raisonnable, puisqu’il y a avait nécessairement des sites réellement malveillants parmi ces résultats.
En effet, ce message est basé sur une liste de sites classifiés dangereux gérée par l’association StopBadware.org. Grâce à ce mécanisme d’avertissement, l’internaute est informé du risque d’infecter son ordinateur qu’il prend en visitant un site Internet , car celui-ci contient des « pièges » qui exploitent des failles de sécurité de son navigateur Internet. Simplement, ce jour-là, la liste de sites classifiés dangereux « contenait une erreur » (selon le porte-parole de Google ), provoquant l’affichage du message pour tous les sites, et pas seulement les sites réellement dangereux.
(suite…)
par Werner KLINGER | 31 Jan 2009
En 2008, NeoDiffusion a accompagné plus de 25 projets Internet locaux (Ain, Isère, Rhône, Loire…) et à l’échelle internationale. Il s’agit non seulement de conseil ponctuel (à travers le Ticket Conseil par exemple), mais également d’accompagnement sur la durée avec la mise en pratique de recommandations concrètes. L’activité conseil a été renforcée par le recrutement d’un Consultant expert en communication, à votre service dès aujourd’hui…
Quant à l’activité historique « e-marketing » de NeoDiffusion pour les petits et grands du e-commerce, nous avons noté que le réseau NeoDiffusion a doublé le chiffre d’affaires de ses clients. Au travers de cette activité de mise en relation de prospects avec des sites marchands, nous renouvelons notre expertise dans le domaine de la Présence Internet : référencement, hébergement, e-mailing. Un second Attaché Webmarketing devrait d’ailleurs renforcer ce pôle d’activité au cours de l’année 2009.
Ces deux activités, l’une plus « stratégique » et l’autre plus « opérationnelle », sont complémentaires pour vous proposer des conseils et un accompagnement intégral au fait des dernières évolutions technologiques, tout au long de l’année.